DICTIONNAIRE ILLUSTRÉ DU VILLAGE DE PROVENCE
DICTIONNAIRE ILLUSTRÉ DU VILLAGE DE PROVENCE
Le Pays d’Apt, novembre 2013
« En 1980, André Pierre Fulconis publiait une première monographie de Saint Martin de Castillon. L’édition fut épuisée en un été et depuis lors nombreux sont ceux qui espéraient une réédition. Voilà plus de trente ans qu’ils attendaient, mais gageons que cette nouvelle publication dépasse leurs espérances, puisque pendant toutes ces décennies André Pierre Fulconis travaillait assidûment à l’enrichissement de l’ouvrage qui vient enfin de paraître Dictionnaire illustré du village de Provence – Saint Martin de Castillon. Si ce village, qui fut en des temps révolutionnaires rebaptisé Luberon la Montagne, est au centre de tous les articles, chaque fait et geste y est situé dans un ensemble provençal plus large, dans une perspective comparative. Ainsi c’est bien du village provençal qu’André Pierre Fulconis nous parle pendant plus de 700 pages bien remplies.
Pour ce faire, il ne s’est pas contenté de dépouiller quantité d’archives, de consulter minutieusement d’innombrables publications, de référencer scrupuleusement chacune de ses sources, il a aussi collecté sur plus d’un demi-siècle les témoignages oraux des gens de Saint Martin. Et cette parole authentique, il la restitue à chaque page de ce dictionnaire riche de tant de choses passées qui s’illuminent et s’animent de cette présence du vécu, du vivant, de l’actuel, d’une authenticité qui ne s’invente pas et ajoute au plaisir de lire.
Que dirai-je encore ? Que c’est bien un dictionnaire et qu’on y lit comme on veut, quand on veut, que les articles qu’on veut. On y butine, papillonne à son gré, on y voyage, rencontre des amis ou des inconnus qui leur ressemblent beaucoup.
Je n’en dirai pas plus, sinon que je reconnais parfaitement l’ouvrage dans la présentation qu’en fait lui-même André Pierre Fulconis. (...) »
Guy Mathieu
Communauté des lecteurs et presse
Revue Marsyas, septembre 2013
« Andriéu Peire Fulconis nous baio aqui un testimòni de recouneissènço i generacioun que nous an tout lega e que bastiguèron lou terraire. Se foundo sus de tèste óuficiau o priva, sus li temouniage ourau di darriés « ancian » e tout ço que nous an leissa coume mounumen, restanco à pèiro seco, cabano pounchudo*, capello, etc. Aquéli testimòni, n’en tenié de famiho mai ié fauguè tambèn l’amista fisançouso de tóuti li Prouvençau rescountra en 60 an de recerco. Cadun ié troubara ço que long di siècle fuguè la vido vidanto de nòsti davancié : travai, amour e peno, danso e jo, alimentacioun e medecino, gràndi pesto o guerro, etc. (…)
Pèr agué mai d’entre-signe, sufis d’ana sus lou site www.fulconis.com. »
« André Pierre Fulconis nous livre ici un témoignage de reconnaissance aux générations bâtisseuses du terroir qui nous ont tout légué. Il se fonde sur des textes officiels ou privés, sur les témoignages oraux des derniers anciens, et sur tout ce qu’il nous ont laissé comme
monuments, murs de pierre sèche, cabanes pointues, chapelles, etc. Ces témoignages, il en tenait des siens mais aussi de l’amitié confiante de tous les Provençaux touchés en 60 ans de recherches. Chacun y trouvera ce que fut au long des siècles le vécu vrai de nos devanciers : travail, amours et peines, danses et jeux, nourritures et médecines, pestes et guerres etc. (…) (Pierrette Bérengier) »
Peireto Berengier
*Es l’óucasioun de ramenta que lou mot « bòrri » a pas sa plaço eici. Lou fau leissa i parisen. En prouvençau a un autre sèns, sufis de regarda lou TDF.
© Renaud Pierre Fulconis pour le site et ses contenus
Revue du Félibrige, septembre 2013
« Nous connaissons bien l’auteur, arrière petit fils de Louis Guillaume Fulconis. Il avait déjà publié un ouvrage sur son village en 1980, qui eu tellement de succès qu’il s’épuisa en un été. Il ne lui restait plus qu’à se remettre à l’œuvre. Seulement, voilà qu’entre temps il eut l’idée de tout nous dire sur son aïeul et en 2005 il nous régala avec : « LOUIS GUILLAUME FULCONIS (1818-1873) Statuaire-Une vie d'amitié (Provence, Algérie, Normandie, Paris) », et son tant riche chapitre sur la Coupo !
Quelques années de travail acharné et, aujourd’hui, il nous donne une nouvelle version de l’histoire de son village sans aucune commune mesure avec le premier, tant par l’importance que par la richesse. (…) »
Pierrette Bérengier
Le vire Soleil n°42-2013
« Se podiam pensar qu'amé lo libre sus son aujòu que li devèm la Copa, Andriu Peire Fulconis aviá fach l'obratge de sa vida. Aviam posgut tot de lòng d'aquèu trabalh de Benedictin apreciar lei capacitats de son autor per lei recercas menimosas. Aviá tant passat d'annadas a- n aqueu pretzfach que s'imaginaviam pas que se podriá mai atacar amé tant de seriós e d' afogament a-n una autra òbra tant importanta. Trabalhava en silenci. Vaquí mai de trenta ans qu'aviá perèu fach parèisser una monografia sus Sant Martin de Castilhon. Lo libre s' èra abenat en quauquei setmanas, e desempuèi totei n' esperavan una reedicion. An pas perdut per esperar! Vaquí lei servits coma de rèis! Lo « Dictionnaire illustré du village de Provence: Saint Martin de Castillon, Luberon la montagne » fa mai de set cents pajas de granda talha, sus doas colonas ben sarradas. Li trobàn aquí dedins trenta ans de mai de recercas dins leis archius e lei publicacions sus la Provenca, dos mila ans d'istòria d'un canton dau Luberon, de segles de tradicions comparadas amé aquelei deis alentorns, de monuments, d'òbras d'art, de mestiers, de vida vidanta, e per finir un molon de testimònis oraus d'aquelei que Andriu Peire Fulconis costejèt au pais mai de setanta ans! Per faire cort dirai qu'es una obra de referencia dins una bibliografia moderna de la Provenca, una òbra de fons. Pas besonh d’estre Sant Martinenc per aguer d'interest e de plaser a lo legir, lo fuelhetar d' article en article, coma vos agrada, quand n'avètz l'enveja. Es un diccionari, clafit de causas sabentas facilas de legir, un diccionari, segur, mai perèu un chale ! »
Gui Matieu, Mèstre en gai saber. lo Vira solelh n° 42, tardor de 2013.
On aurait pu penser qu’avec le livre sur l’homme à qui nous devons la Coupo, son aïeul, André Pierre Fulconis avait fait l’œuvre de sa vie. Nous avons pu, tout au long de son travail de Bénédictin, apprécier les capacités de l’auteur pour les recherches pointues. Il a passé tant d’années à une telle entreprise que l’on ne pouvait guère s’imaginer qu’il pouvait encore s’attaquer avec tant de sérieux et de ferveur à une œuvre aussi importante.
Il a travaillé en silence. Il y a plus de 30 ans qu’il avait également fait paraître une monographie de Saint Martin de Castillon. Le livre a été épuisé en quelques semaines, et depuis, beaucoup espéraient une réédition. Ils n’ont rien perdu à attendre. Les voilà servis comme des rois. Le Dictionnaire du village de Provence fait plus de 700 pages de grande taille, sur deux colonnes bien denses. On y trouve 30 ans de plus de recherches dans les archives et les publications sur la Provence, 2000 ans d’Histoire d’un canton du Luberon, des siècles de traditions similaires à celles des alentours, de monuments, d’œuvres d’art, de métiers, de réel vécu, et, pour finir, une multitude de témoignages oraux, de ceux qu’André Pierre Fulconis a côtoyé au pays pendant plus de 60 ans !
Pour faire court je dirai que c’est une œuvre de référence dans la bibliographie moderne de la Provence, une œuvre de fond. Pas besoin d’être Sant Martinen pour avoir intérêt et plaisir à la lire, la feuilleter, article par article, à son gré, suivant les envies. C’est un dictionnaire fourni de choses érudites, faciles à lire, un dictionnaire, certes, mais aussi un régal !
Guy Mathieu, Maître en Gai Savoir.
Bulletin Barbeyrac, août 2013
« J’ai reçu l’énorme bouquin d’André-Pierre Fulconis. Travail impressionnant qui lui a demandé des années de recherches et où on retrouve les Barbeyrac, et surtout une multitude de chapitres, d’anecdotes, de dessins et gravures anciennes, de notes historiques, de remarquables reproductions d’aquarelles, de vieilles photos, de documents anciens, d’une masse incroyable de renseignements de toutes sortes, etc… 700 pages sur deux colonnes (soit en fait 1400 pages !) permettant d’imaginer la vie ancienne dans ce beau village de Provence où habita notre famille pendant plus de deux siècles. On y apprend plein de choses. Que par exemple 485 villages et 3672 églises portent le nom de Saint-Martin. Que le village était desservi par la ligne de voie ferrée Cavaillon-Apt-Céreste-Forcalquier avec un des plus longs viaducs de Provence, ligne construite à partir de 1870, pour être supprimée et démontée en 1960. Et mille autres choses… L’ouvrage reproduit aussi de superbes aquarelles et huiles de Pertus (qui, à elles seules pourraient faire l’objet d’un très beau livre d’art). Ces œuvres sont toutes consacrées au village, et ses alentours, avec au fond le Luberon, et la rivière du Calavon, affluent de la Durance, et celle-ci du Rhône. Et où les belles se baignaient nues, si l’on en croit l’artiste… Des années et des années de travail de fourmi. Consulter : www.fulconis.com. »
Michel de Barbeyrac
« Bien reçu aujourd'hui votre livre. C'est une vraie mine d'or. Merci. Cordialement ».
Raoul Decugis, Président de l’Association des Chemins du Patrimoine, Ollioules
« Arrière petit-fils du sculpteur de la Coupo Santo auquel il avait consacré un monumental ouvrage, A.P. Fulconis nous donne un tout aussi monumental ouvrage consacré à son village de Saint Martin de Castillon qui est aussi le dictionnaire général des villages de Provence » (…)
Bulletin du Félibrige, septembre 2013
« Nous venons de cataloguer votre ouvrage remarquable "Dictionnaire illustré du village de Provence Saint Martin de Castillon. Luberon la Montagne / André Pierre Fulconis ; illustrations Renaud Pierre Fulconis (…) »
Caroline Jacquier, Bibliothécaire assistant spécialisé,
Bibliothèque Mazarine, Paris, www.bibliotheque-mazarine.fr
« Dans son oeuvre monumentale, André Fulconis unit la piété familiale, la rigueur de l’historien et la qualité d’évocation du conteur ».
René Merle, historien
« (…) Vous vole dire vuei quant ai pouscu avaloura l’obro mounumentalo qu’avès coumpli. I’a de que bada e èstre amiratiéu mai que mai.
Avès douna uno soumo encicloupedico, uno estraourdinàri noumenclaturo ; un travai menimous, istouri, memouriau, sabènt, precious, drud.
Es un oubrage coumplèt, un « Tresor ». Demourara sèmpre uno referènci pèr li generacioun avenidouiro.
Salude, au regard de soun pres-fa espetaclous, lou judice emai la poutènci de recerco e d’escrituro de l’autour dóu « Dictionnaire illustré du village de Provence » (…)
Jaque Mouttet, Capoulié dóu Felibrige
« (…) Je veux vous dire maintenant combien j’ai pu estimer l’œuvre monumentale que vous avez accomplie. Il y a de quoi être fasciné et plus qu’admiratif.
Vous avez donné une somme encyclopédique, une extraordinaire nomenclature, un travail minutieux, historique, mémoriel, érudit, précieux et riche.
C’est un ouvrage complet, un « Trésor ». Il demeurera toujours une référence pour les générations à venir.
Je salue, au regard de son travail prodigieux, le discernement et la puissance de recherche et d’écriture de l’auteur du « Dictionnaire illustré du village de Provence » (…)
Jacques Mouttet, Président du Félibrige, association fondée en 1854 pour favoriser et organiser la sauvegarde, l’illustration et la promotion de la langue et de la culture d’oc sur l’ensemble des territoires du sud de la France
« Cet ouvrage de référence, débordant Saint-Martin, plonge au profond d'un large territoire pour en mettre à jour les multiples ressources en leurs diverses facettes : us et coutumes, recettes, outillage, fêtes et techniques, arts, croyances, tout est ici passé au peigne fin pour témoigner, rendre compte au plus près d'une civilisation véritable, et la mettre en valeur.
Des trésors comme ceux-là sont et seront de plus en plus précieux. Avec eux, le remaillage du tissu social (aujourd'hui en piteux état) est en route, et bien d'autres choses encore.
Nous avons quantités de leçons à tirer du passé et du passé récent ; à sa façon, cet ouvrage est une sorte de Médecine. Médecine de l'âme ! Car c'est d'elle aujourd'hui que nous sommes malades ! En ces pages, nous voyons combien il faut d'amour et de patience pour faire des vies belles, solidaires et fructifiantes : c'est édifiant !
Pour finir de convaincre, je dirais que ce livre, qui peut être lu à divers niveaux, a mille et un visages au milieu desquels - formidable - ! La passion d'André Pierre Fulconis rayonne comme un soleil »
André Lombard, auteur, dernier ouvrage : « Pour saluer Fiorio », le grand peintre, cousin de Jean Giono. Chez l'auteur : hameau de St-Laurent 84750 Viens. nolombard@gmail.com